Une cafétéria d'un des ponts (il y en a plusieurs)
Le pont d'où l'on peut voir la mer, le rivage
Le bar où nous étions installés
Le piano dans le bar ou une belle jeune fille nous a joué des airs sympas
Le magasin qui vend des magasines, des souvenirs des bonbons etc.... bien sûr j'y suis allée
La salle de jeux je n'y ai pas vu les enfants mais des personnes dormir parterre sur la moquette
La salle de repos relax où on peut voir la télé mais payante 35 euros (on est resté dans le bar)
Une autre cafet
Pour ceux qui voulaient rester dehors les chaises longues (trop de vent)
La piscine je n'y ai vu personne
Un autre coin de la cafet
La salle à manger, là pas grand monde trop cher (on a mangé des sandwichs)
On pouvait y voir des chiens (5 euros le trajet pour le chien, il ne faut pas les laisser dans la voiture trop toxique)
Le bateau pilote qui arrive
le pilote acrobate qui monte pour piloter le bateau sur Nice
L’histoire de la Corse est celle d'une île devenue française en 1769 et qui a souvent été objet d'enjeux stratégiques et d'influences externes, tout en conservant un fort particularisme, dû à son relatif isolement.
Située au cœur de la Méditerranée occidentale — à 170 kilomètres de Nice, une dizaine de kilomètres de la Sardaigne, 50 kilomètres de l'île d'Elbe (Toscane), 80 kilomètres des côtes toscanes, l'île a de tous temps occupé une position stratégique au sein de l'espace géopolitique méditerranéen. Objet de convoitise des différentes puissances de Méditerranée, elle est longtemps demeurée dans les zones d'influence italo-toscane et carthaginoise, la langue corse en étant la plus vivante illustration. Véritable « montagne dans la mer » avec une arête centrale nord-sud sur toute sa longueur, résultat de la collision par rotation de plaque Corso-Sarde (initialement lovée dans le Golfe du Lion) et de la plaque italienne, l'intérieur de la Corse a été un lieu de refuge constant pour la population de l'île qui y a développé et maintenu une culture très ancienne.
Sa spécificité et son originalité sont le produit d'une histoire complexe. Avec ses 8 778 km², elle est la quatrième île de la Méditerranée, derrière la Sicile, la Sardaigne et Chypre.
En route pour le Cap CorseOn peut y voir les tours génoises que l'on voit partout tout autour de la Corse.
Gênes (les Italiens) fonde sa conquête sur sa puissance bancaire. (dans les années 1500)
Gênes partage l’île en dix provinces, elles-mêmes divisées en pièves (les soixante-six pièves reprises du système féodal). Les Génois construisent (urbanisation : Bastia devient siège du gouverneur, ponts, routes, etc.), développent les vergers, importent de Corse vins, huiles, bois, huîtres, poix, mais imposent lourdement la Corse et s’assurent la quasi-exclusivité du commerce avec l’île. La langue et certains usages (religieux notamment) corses sont grandement influencés par l’occupant.
Le 30 janvier 1735, est adopté un règlement établissant la séparation définitive de la Corse d'avec Gênes
Les pierres vertes (de la Lauze ou schiste) des montagnes de pierres vertes avec lesquelles ils ont fait leur toit de maison... et oui.... en pierre.... le toit ne risque pas de s'envoler (on les voit sur les vielles maisons) il existe des villages entiers avec ces pierres et le village parait vert au milieu des montagnes vertes
Le bout de l'île